La Cité des Anges


L’aube se lève sur une nouvelle ère
Comme les aurores ont brulé lles pierresSur les landes brulées s’étend une cité en ruines
Les derniers vestiges où encore la splendeur domine
Ce n’est que quelques traces dans la poussière
Mais qui dissimulent le plus fascinant des mystères
Une vaste cité aux hautes tours
Qui brille comme un diamant aux alentours
Tout est de marbre et de pierre
De verre, de cristal et de lumière
Bienvenue dans la cité des Anges
Une citadelle à la beauté étrange
Maitres des airs, seigneurs des lieux
Les anges planent dans les cieux
Seigneurs des lieux, maitres des airs
Ailes d’anges brûlées en poussière
Le ciel de leur royaume ils survolent
Des balcons et des toits ils décollent
Au ciel de leur empire ils se lancent
Du haut des plus hautes tours ils s’élancent
Survolant la ville, les anges de lumière
Au dessus des toits ils règnent, scintillants et fiers
Sautent du haut des tours de verre
Tombent du haut des tours de pierre
Se jettent dans le vide du haut des plus hauts bâtiments
Tombent et se rattrapent au dernier moment
Juste avant de toucher le sol, ils déploient leurs ailes
Et avec agilité, remontent en chandelle
Engagent des virages serrés entre les édifices
A une vitesse impressionnante entre les hautes bâtisses
Les plumes de leurs ailes se reflètent sur les façades de verre
Et renvoient la clarté de l’éclat solaireIls tournoient avec grâce dans le ciel d’azur
Au dessus des tours rongées par l’usure
Planent encore plus haut, jusqu’au soleil
Les anges ont brulés leurs ailesPromesses, anges étoilés
Poussière, ailes d’anges brulées
Dans cette citadelle à la beauté étrange
Bienvenue dans la Cité des Anges
La Galaad